Robson Green
Robson se joint à l'équipe et aux responsables chargés de la restauration de la plus célèbre locomotive à vapeur du monde, la Flying Scotsman. Il aura fallu 10 ans de travail depuis 2006 jusqu'en Janvier 2016. Tout en révèlant son étonnante histoire et celle de sa renaissance, Robson suit pas à pas à travers l'Angleterre les dernières étapes pendant toute l'année précédant sa remise officielle sur les rails.
Le mois de Mai approche. Robson revient à la plaque tournante des opérations à l'atelier de Manchester, quand l'équipe va remettre la Flying Scotsman sur ses roues et installer sa chaudière à vapeur.
 
Chargehand Greg McGill dirige l'équipe pour la journée et Robson aide le spécialiste en la matière, David Smith, à poser un pneu sur une roue. Et il n'a droit qu'à une seule tentative.
 
Robson poursuit sa route vers les North York Moors dans le comté du Yorkshire du Nord, et s'arrête pour raconter avec émotion une page de l'histoire de la locomotive qui a touché de près sa famille, de façon dramatique.
 
Il rappelle que son second prénom est Golightly, qui vient de son arrière-grand-père du côté maternel, William Golightly, mineur et leader syndical célèbre dans les années 1920, qui fut Président de la Northumberland Miners' Association - syndicat fondé en 1864 et dissous en 1945 pour représenter les mineurs de charbon du comté de Northumberland.
Au cours de la Grève générale de 1926 au Royaume-Uni, William Golightly exhorta les mineurs grévistes lors d'un discours, à faire tout leur possible pour arrêter les roues de l'industrialisation. Cette métaphore fut comprise comme le transport du charbon par les rails.
 
Ainsi, échauffés par ces mots, un groupe de sept mineurs a saboté une ligne de chemin de fer près de Cramlington dans le Nord-Est et ont fait déraillé le train. Malheureusement, ils s'en étaient pris, à tort, à un train de voyageurs au lieu d'un train de marchandises : Flying Scotsman.
 
Malgré qu'ils n'aient heureusement causé aucun accident mortel, ni blessé grave, les sept hommes furent condamnés à des peines sévères et allèrent en prison pour sept années. Beaucoup de syndicalistes reprochèrent alors à William Golightly de ne pas avoir soutenu les mineurs dans une campagne pour les faire libérer. Ce terrible accident souilla terriblement la réputation de la Flying Scotsman et il fallut deux ans à Nigel Gresley pour la réparer.
 
Prochain arrêt : Grosmont et plus particulièrement North Yorkshire Moors Railway, une ancienne ligne de chemin de fer conçue par George Stephenson, maintenant attraction touristique à travers le parc national des North York Moors. Robson rencontre l'historien Robert 'Bob' Gwynne du National Railway Museum, qui lui montre la brillante invention de Nigel Gresley, le concepteur d'origine de la Scotsman.
 
Herbert Nigel Gresley (1876-1941) fut l'un des plus célèbres ingénieurs vaporistes britanniques, créateur de nombreuses locomotives à vapeur célèbres qui ont battu des records de vitesse. Il a permis une première mondiale quand la Flying Scotsman a tracté un train de Londres à Édimbourg d'une traite, contribuant ainsi à en faire une image de marque internationale.
Si l'invention du mécanisme à vapeur était un immense progrès, Robson a l'impression d'être dans un sauna quand Bob l'entraîne à l'avant de la locomotive.
 
La vapeur atteint en effet une température d'environ 350°C avant de servir comme force motrice. En plus de la chaleur suffocante, règne un bruit assourdissant dans la chaudière.
 
Commence alors l'apogée des trains à vapeur qui battent des records de vitesse et deviennent un moyen de transport de luxe avec waggons confortables, bars à coktails et repas gastronomiques, salons de coiffure...
 
Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les machines à vapeur devenaient obsolètes. La nationalisation du chemin de fer britannique en 1948 et la modernisation avec des machines électriques ou diesel, exigeaient qu'elles soient progressivement retirées du circuit pour finir à la ferraille.
 
Flying Scotsman devait subir ce même sort, mais Robson se rend vers le Nord du Pays de Galles pour retrouver Penny Vaudoyer dont le père a réussi à sauver la locomotive en 1962. Il la rencontre longuement sur la ligne de chemin de fer à voie étroite de Ffestiniog à Gwynedd dans les montagnes galloises.
C'est là où son père, Alan Pegler, s'est pris de passion pour les trains à vapeur. À un Robson bouche bée, Penny raconte comment son père entra dans sa chambre quand elle avait neuf ans, pour annoncer qu'il avait acheté une machine à vapeur. Il était intervenu à la onzième heure d'incinération et avait payé 3.000 £ pour avoir le privilège de garder la machine.
 
Avec l'aide d'un ami de son père, la Flying Scotsman a été immortalisée sur une pellicule couleur de 16mm quand elle sillonnait la campagne anglaise. On revoit ces images d'archives tandis que la bande son fait entendre les voix de Alan Pegler, mort en 2012 et Johnny Morris. Alan décida ensuite de présenter la Flying Scotsman aux américains et elle traversa l'Atlantique en bateau avec l'aval du Premier Ministre de l'époque.
 
Penny raconte ses souvenirs se souvient de ses trajets à bord de la locomotive, qui a pu circulé dans toute la Grande-Bretagne jusqu'en 1968, date où les autorités ont mis définitivement fin à la vapeur. À son tour, Robson évoque un souvenir personnel et montre la photo prise dans les années 70 où petit garçon il avait été voir la célèbre locomotive pendant un voyage scolaire à Edinburgh. Robson invite Penny à l'accompagner un peu plus tard pour découvrir de ses propres yeux ce qu'est devenue la machine qui a marqué son enfance.
 
Il rencontre Sir William Hepburn McAlpine, 6e Baronet du nom et homme d'affaires millionnaire féru de chemin de fer. Robson n'en croit pas ses yeux en découvrant une gare entière avec rails et trains installée dans sa propriété de Fawley Hill, et Il se rend compte à quel point "Bill" reste, un fanatique de la vapeur, ce qui explique qu'il était prêt à payer le prix fort (72.000 $) pour sauver la Flying Scotsman : "Je ne pouvais pas la laisser pourrir aux États-Unis et devenir un restaurant." Il est devenu propriétaire de l'icone ferroviaire en Janvier 1973 et la conserva pendant 23 ans.
 
La restauration de la Flying Scotsman touche à son terme. Robson retourne pour sa dernière visite à l'atelier fin Novembre et aide Teriann O'Connor, la seule femme de l'équipe, pour la touche finale : la peinture.
 
Pour Robson la Flying Scotmans est l'illustration parfaite de la loi du mouvement d'Isaac Newton, car ce symbole du meilleur de l'ingénierie est né pour bouger et doit continuer à bouger, le remettre en marche devenait une évidence.
50 ans plus tard, le chapitre de l'aventure américaine est illustrée par deux femmes, Anna Turner et Tania Hopkinson, qui ont été recrutées adolescentes à l'époque, pour faire la promotion de la tournée outre-atlantique.
 
Bien entouré, Robson et elles rient aux éclats à l'évocation de ces bons moments et de leurs expériences. Ce fut une tournée triomphante qui attira une foule nombreuse à New York, Boston, au Texas, et plus de 3.000 personnes à Philadelphie.
 
Retour à l'atelier. On est maintenant en Juillet et Robson aide Colin Green à fixer deux tuyaux de vapeur à l'Ecossais Volant. A lieu ensuite un moment poignant et émotionnel, quand il conduit Penny Vaudoyer face à la locomotive qu'elle connaissait si bien autrefois et qui a totalement ruiné son père.
 
Robson poursuit son voyage vers le Sud dans les Chiltern Hills près de la Tamise, pour savoir comment la Flying Scotsman a survécu à la faillite de son propriétaire qui l'avait abandonnée aux Etats-Unis.
Le film commence en Février 2015, Robson enfile son bleu de travail et rencontre le directeur des travaux et chef d'équipe, Colin Green, à l'atelier situé à la sortie de Manchester où il découvre la Flying Scotsman qui git en plusieurs pièces.
 
Colin lui explique en quoi consiste la restauration selon les techniques traditionnelles d'artisanat et d'ingénierie.
 
Ensuite, Nicholas Bartle lui fait faire de la soudure, lui-même venant de souder l'avant de la Scotsman en une pièce entière, à la grande admiration de Robson.
 
Pour ce dernier, sa première tâche est moins compliquée, il s'agit de souder une pièce pour collecter les cendres sous le moteur.
 
D'ailleurs Robson n'a pas perdu la main, puisqu'avant d'être acteur, il a débuté son apprentissage comme soudeur et charpentier aux chantiers navals de Swann Hunter !
Robson veut découvrir pourquoi ces passionnés, hommes et femmes, croient qu'il est si important de reconstruire cette vieille machine à vapeur, que certains considèrent comme une 'bouilloire en ébullition sur roues' !
 
Pour lui, la locomotive symbolise le catalyseur de la modernité et quelque chose qui a complètement transformé nos vies, "y compris la mienne" dit Robson.
 
Et la naissance de ce fantastique engin a eu lieu tout près de chez lui dans les premières années du 19ème siècle. En quête de réponses, il se rend à Beamish dans le Durham Coalfield, bassin houillier situé à la frontière avec le Northumberland dans le Nord-Est de l'Angleterre.
 
Là, Robson découvre comment l'invention du moteur à vapeur, l'un des symboles majeurs de la révolution industrielle, a changé le monde.
 
George et Robert Stephenson ont les premiers conçu une machine à vapeur sur une nouvelle ligne ferroviaire qu'ils avaient construite de Durham à Stockton pour transporter le charbon à la place du transport fluvial.
 
À Doncaster, située dans le Yorkshire du Sud, il rencontre Peter Townend, bon pied bon œil à 93 ans, qui a travaillé dans l'atelier qui a construit la Flying Scotsman de Nigel Gresley en 1923. 10.000 hommes travaillaient à l'époque.
 
Le vieil homme raconte ses souvenirs et évoque les conditions de travail des ouvriers en ce temps-là. Ils ne portaient aucune protection ni casque anti-bruit, et Robson réalise que Peter peut à peine entendre - conséquence d'avoir travaillé dans cette 'maison de fous' avec des niveaux sonores inimaginables.
Robson a passé une année entière à l'atelier, et après dix ans de restauration d'un coût total de 4,2 millions de livres soit 5,6 millions d’euros, la locomotive est enfin prête pour son premier essai !
 
C'est le grand jour le Vendredi 8 janvier 2016, lorsque la Flying Scotsman reprend du service à la gare de Bury dans un voluptueux panache de fumée blanche sous les yeux admiratifs des nombreux spectateurs.
 
C'est pour la nation, la chance d'assister au retour d'une légende de l'ingénierie.
 
C'est également pour Robson un rêve d'enfant qui devient réalité lorsqu'il monter sur la plate-forme et voyage à bord de la machine à vapeur la plus célèbre du monde.
 
Et quel plaisir d'actionner le sifflet à vapeur scellant la réussite d'un projet si extraordinaire !
Robson raconte la remarquable histoire et la renaissance de la Flying Scotsman, la plus célèbre locomotive à vapeur du monde, symbole du patrimoine ferroviaire britannique. Construite en 1923 pour un coût de 8.000 £, l'Écossais volant a été la première locomotive à vapeur à atteindre la vitesse de pointe de 160 km/h et la première à relier Londres à Édimbourg d'une traite.
 
Depuis 2004, la machine appartient au Musée National des chemins de fer à York, et le projet de la ramener à la vie est né en 2006, grâce au financement de Riley & Son Ltd, société d'ingénierie de locomotive et de rénovation, basée à Enterrez, Greater Manchester.
 
Après 10 ans de travaux, Robson passe la dernière année en 2015 avec l'équipe d'ouvriers, artisans et ingénieurs, hommes et femmes, qui travaillent à la restauration de la célèbre machine à l'atelier de Manchester. Avec un droit d'accès exclusif, il suit la progression et participe au travail jusqu'au retour sur les rails de la locomotive le Vendredi 8 janvier 2016. Au total, sa rénovation aura coûté 4,2 millions de livres, soit 5,6 millions d’euros.
 
Entre ses allers et retours à l'atelier, Robson sillonne l'Angleterre au volant de sa Lexus RX450h hybride noire, pour révéler le passé de la Flying Scotsman dans les différents lieux témoins de son histoire et rencontre les gens susceptibles de l'éclairer.
L'HISTOIRE D'UNE LOCOMOTIVE LÉGENDAIRE
 

La locomotive à vapeur LNER classe A3 Pacifique n ° 4472 surnommée 'Flying Scotsman' a été construite en 1923 pour le London and North Eastern Railway (LNER) aux Doncaster Works selon une conception de l'ingénieur Nigel Gresley.
 
Le 30 novembre 1934, Flying Scotsman devient la toute première locomotive à vapeur dans le monde à dépasser officiellement la barre symbolique des 100 miles par heure dans la campagne anglaise, soit une vitesse de pointe de 160,9 km/h.
 
Elle est également la première à relier Londres à Édimbourg (Écosse),  d'une traite.
 
Pendant trente-cinq ans, la locomotive est utilisée sur les trains express interurbains sur le LNER et ses successeurs, British Railways Eastern and North-Eastern Regions. Elle est en particulier la motrice du train matinal express Flying Scotsman (Écossais volant) effectuant la liaison de la gare de King's Cross à Londres jusqu'à Édimbourg, d'où elle a pris son nom.
 
Flying Scotsman reste en service jusqu'en 1963, avant d'être retiréedu service  par British Rail, dès lors, qu'au début des années 1960, les motrices électriques s'imposaient devant les locomotives à vapeur.
 
Après sa retraite, Flying Scotsman traverse l'Atlantique pour tirer les trains touristiques sur la côte ouest des États-Unis.
 
En 1973, un milliardaire britannique, Sir William McAlpine, la rachète et la ramène en Grande-Bretagne, où elle passe aux mains de plusieurs propriétaires.
 
Complètement rénovée à la fin des années 1990, la locomotive tirait, depuis lors, les wagons du mythique train Venice Simplon-Orient Express pour des excursions touristiques au départ de la gare londonienne de Victoria.
 
En 2004, le National Railway Museum de York (Musée National des chemins de fer) rachète ce fleuron du patrimoine industriel de Grande-Bretagne, pour 2,5 millions de livres, soit 3,2 millions d'euros, en partie grâce à des fonds levés auprès du public. La locomotive compte alors un kilométrage total d'environ 4.000.000 kilomètres.
 
Assurés par Riley & Son Ltd,  les travaux pour remettre en état la puissante machine commencent en 2006 et durent dix ans, pour un coût de 4,2 millions de livres (5,6 millions d'euros). La locomotive de légende réalise sa première sortie sur les rails en Janvier 2016.
Beamish Open Air Museum, Beamish, County Durham
 
Former LNER Workshop, Doncaster, South Yorkshire
 
East Lancs Steam Railway, Bury, Greater Manchester
 
Grosmont Station, Grosmont, North Yorkshire
 
Pickering Station, Pickering, North Yorkshire
 
Ffestiniog Railway, Gwynedd, Wales
 
Fawley Hill, Fawley, Buckinghamshire
Colin Green - Works Director and Foreman
Nicholas Bartle - Restoration Engineer
Peter Townend - Doncaster Plant Apprentice
David Smith - Restoration Engineer
Greg McGill - Restoration Engineer
Bob Gwynne - National Railway Museum
Penny Vaudoyer - Daughter of Alan Pegler
Tania Hopkinson - Trade Promotion Girl, American Tour of Flying Scotsman
Anna Turner - Trade Promotion Girl, American Tour of Flying Scotsman
Sir William McAlpine - Second Owner of Flying Scotsman
Teriann O'Connor - Restoration Engineer
 
Archives (voix)
 
Alan Pegler - First Private Owner of Flying Scotsman
Johnny Morris - Narrator of Archive Film
The National Railway Museum, York
Beamish Museum
East Lancashire Railway
Ffestiniog and Welsh Highland Railways
The North Yorkshire Moors Railway
British Pathé
Andy Brindle
Ian Riley
LE RETOUR SUR LES RAILS DE LA MYTHIQUE LOCOMOTIVE
 

Laissant dans son sillage un voluptueux panache de vapeur blanche, un train d'une autre époque tiré par la fière Flying Scotsman de 97 tonnes à la robe verte, reprend du service sous les acclamations d'une foule de curieux et de passionnés venus assister à la renaissance de ce fantastique engin des années 1920.
 
"C'est un sentiment merveilleux de la voir ici et de la voir rouler. C'est comme une très belle femme", déclare, ému, Sir William McAlpine, l'un de ses anciens propriétaires.
 
C'est en effet l'aboutissement de dix ans de restauration et de reconstruction, lorsque Flying Scotsman quitte la gare de Bury, dans le Nord-Ouest de l'Angleterre, ce Vendredi 8 janvier 2016. Emblématique du patrimoine ferroviaire britannique, l'Écossais volant revenait à la vie en faisant ses premiers essais à vitesse lente sur les rails de l'East Lancashire Railway, avant de reprendre du service un mois plus tard.
 
"C'est la première étape avant qu'elle revienne pour de bon et nous sommes vraiment très émus de la voir se déplacer après des années de travail", a déclaré Colin Green, co-directeur de l'entreprise en charge de la restauration, Riley & Son.
 
La puissante machine avait été rachetée en 2004 par le Musée National des chemins de fer à York (Nord-Est) pour 2,3 millions de livres, en partie grâce à des fonds levés auprès du public. Les travaux pour la remettre en état avaient commencé en 2006 et au total, sa rénovation réalisée par Riley & Son Ltd a coûté 4,2 millions de livres, soit 5,6 millions d’euros.
 
Le matin du Jeudi 16 Février 2016, après une série de tests et une dernière retouche de peinture, Flying Scotsman réalise son voyage inaugural de la gare de King Cross à Londres jusqu'à York. Dans le train, quelque 300 passagers, dont certains de ses anciens conducteurs ou propriétaires, et des donateurs ayant permis sa renaissance.
 
Les wagons offrent le charme suranné du siècle dernier avec leurs cloisons boisées, de larges fauteuils de salon au tissu rouge, des tables dressées comme dans un grand restaurant et éclairées par de petites lampes cloche. De leur cöté dans la locomotive, les machinistes doivent s'affairer pour nourrir la machine à vapeur à coup de grandes pelletées de charbon et contrôler la mécanique d'exception.
 
Un peu retardé par la foule et les curieux prenant des photos sur les voies, le train est arrivé à la gare de York, cité historique à environ 280 kilomètres au Nord-Ouest de Londres. Après ce trajet, le joyaux du patrimoine industriel a rejoint le Musée national des chemins de fer pour y rester jusqu'à début Mars. À l'avenir, l'Écossais volant partagera son temps entre différents trajets à caractère touristique et des expositions.
LNER Class A3 4472 Flying Scotsman
Type : Locomotive à vapeur
Numéro de série : 4472
Désignation: Classe A3 Pacific 231
Concepteur : Nigel Gresley
Construction : Doncaster Works
Exploitant : London and North Eastern Railway
Mise en service : 1923
Longueur : 21.60 mètres
Poids : 97,54 tonnes
Vitesse maximale : 160 km/h
Genre: Documentaire, Histoire
Pays d’origine: Royaume-Uni
Durée: 60 minutes
Chaîne d’origine: ITV
Diffusion d’origine: 22 Avril 2016
Scénariste: David Parker
Réalisateur: David Parker
Producteur excécutif: Wendy McLean
Monteur: Collette Hodges
Musique originale: James Dorman
Société de production: Available Light Productions
Société de distribution: Independent Television (ITV)
Flying Scotsman with Robson Green (ITV Press Center)
Flying Scotsman with Robson Green (Silverlining)
Flying Scotsman with Robson Green sur IMDb
Flying Scotsman with Robson Green sur Docu Wiki
Flying Scotsman (site officiel)
LNER Class A3 4472 Flying Scotsman sur Wikipedia